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Véronique Lowry

Ph.D. (docteur),  Membre régulier
Expertise
Physiothérapie
Intérêt principal
Réadaptation
Intérêt secondaire
Transfert des connaissances (KT)
Affiliation primaire

Université de Montréal

Affiliation secondaire
Centre de recherche de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR)

Biographie

Véronique Lowry, pht, PhD, est professeure adjointe au programme de physiothérapie de l’Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont depuis 2025. Elle est détentrice d’un doctorat en sciences de la réadaptation de l’Université de Montréal.

Pre Lowry a également exercé en clinique privée et au sein de groupes de médecine familiale, où elle s’est spécialisée dans la prise en charge des troubles musculosquelettiques. Son programme de recherche porte sur l’optimisation de la prise en charge interdisciplinaire des troubles musculosquelettiques en soins primaires. Elle s’intéresse particulièrement à l’implantation des données probantes et des recommandations dans la pratique clinique, à l’intégration des physiothérapeutes dans les groupes de médecine familiale, ainsi qu’à la promotion de l’activité physique adaptée chez les adultes présentant des troubles musculosquelettiques à risque de développer de la douleur chronique.

Qu’est-ce qui vous passionne le plus, à propos de votre programme ou domaine de recherche?
Mon programme de recherche vise à optimiser l’accès, la qualité et la continuité des soins chez les personnes vivant avec des douleurs musculosquelettiques en soins primaires, en s’appuyant sur les sciences de l’implantation et la mobilisation des connaissances. Ce qui me passionne particulièrement, c’est l’application concrète de ces approches pour intégrer les données probantes dans la pratique clinique et les politiques de santé. Travailler en étroite collaboration avec les équipes cliniques permet d’observer des changements réels et durables dans les soins aux patients. De plus, les douleurs musculosquelettiques sont une problématique majeure, à la fois pour les personnes qui en souffrent et pour le système de santé, en raison de leur impact fonctionnel et du fardeau économique qu’elles engendrent. S’y consacrer est donc essentiel pour améliorer la qualité de vie des patients et optimiser l’utilisation des ressources en santé. C’est d’ailleurs cette volonté d’avoir un impact tangible qui m’a poussée à choisir une carrière en recherche et en enseignement.