Voir tous les membres

Lise Dassieu

Ph.D. (docteur),  Membre régulier
Intérêt principal
Qualité de vie (QoL)
Intérêt secondaire
Comorbidités
Affiliation primaire

Université du Québec à Montréal (UQAM)

Affiliation secondaire
Centre de recherche de l'Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal (HSCM)

Biographie

Lise Dassieu est chercheuse au Centre de recherche du CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal et professeure associée à l’École de travail social de l’UQÀM. Formée en sociologie de la santé, elle mène des recherches interdisciplinaires en sciences sociales et santé des populations. Elle est spécialiste en recherche qualitative et participative sur la douleur chronique et la consommation de substances. Elle développe mes projets en partenariat avec les milieux de pratique ainsi qu'avec des patient-es partenaires.
Son programme de recherche examine les inégalités sociales de santé du point de vue de l’accès aux services, des expériences vécues, et des pratiques professionnelles, dans le but de favoriser l’équité en santé et d’améliorer les expériences de soins des personnes vivant des inégalités sociales.
Elle détient un PhD en sociologie de Université de Toulouse, France (2015), deux expériences postdoctorales en santé des populations au Québec (Université de Sherbrooke et CR-CHUM), ainsi qu'une expérience en tant que chercheuse dans une organisation de santé pancanadienne (Canadian Centre on Substance use and Addiction).

Qu’est-ce qui vous passionne le plus, à propos de votre programme ou domaine de recherche?
Au cours de ma carrière, j’ai eu plusieurs fois l’occasion de travailler en collaboration avec des personnes ayant une expérience vécue de douleur chronique ou d’une autre condition de santé. Apprendre à leurs côtés est certainement une des activités que je trouve les plus passionnantes dans mon travail. Lorsque des personnes vivant avec la douleur considèrent que mes recherches sont utiles, cela donne du sens à mon activité de chercheuse. Par ailleurs, si mon travail peut contribuer à déconstruire les préjugés et à lutter contre la stigmatisation à l’égard des personnes socialement marginalisées qui vivent avec la douleur chronique, alors je considère que j’ai rempli ma mission.